Une gazelle qui mate des lions ! [PV Sora :3]

Mon regard regardait le plafond de l'hôpital... J'avais des bleux sur tout le corps, quelques bandages sur les bras et l'épaule droite ainsi que mon genou gauche qui avait prit un énorme coup latéral et j'avais faillis me le faire briser justement durant ces trois jours qui séparait la dernière fois que j'avais vraiment passer du temps avec le professeur de Genjutsu et le moment ou une infermière me disait que je pouvais quitter l'hôpital si je signais en bas d'un papier. Je lis rapidement ce papier... Ouais tout y étais. Multiple contusion au niveau de tout le corps, possibilité de viole et un genou avec trois hématomes. Bref, dans un soupire je signa là ou l'infermière me dit, elle s'assura que j'allais bien et que je voulais vraiment quitter l'hôpital. Dans un hochement de tête je tourna les talons, attrapa mes clées et mes effets personnels tel que mon nouveau portable, mon paquet de cigarette, mon briquet et une chaîne ou pendouillait un matricule qui m'appartenait bel et bien. Je sortis de l'hôpital m'alluma une cigarette sur le champ avant de prendre la route de mon nouvel appartement que je partageais avec le cousin de Kuzuaki qui était de passage sur Konoha. Il était plus prés du cimetière et un peu loin de l'académie mais cela m'étais égal. Je monta la légère pente et alla vers le parking ou m'attendais une moto vrombissante et qui venait d'être lavée. Sur la selle quelqu'un me tendis un casque avant de relever sa visière. C'était le cousin en question : Raîko. Je mit le casque de moto qu'il me tendait, l'enfila rapidement et enfourcha sa moto dérrière lui, fourrant mes effets personnel dans une poche de mon pantalon.

Pendant que Raîko me conduisait chez moi, je repensais à ce qu'il s'était passé... L'engueule avec mon père qui avait très mal tourné, je lui en avait coller une dés qu'il essaye de me retenir avec le bras pour que je reste à l'affronter. J'ai pu remonté dans mon appartement m'enfermant et laissant passer trois heures avant de resortir pour faire ma petite liste, tout c'était si bien passé jusqu'au soir ou j'avais décidé de manger dehors. Forcément à ce moment un pote m'a appelé, me proposant d'aller quelques parts avec d'autres personnes. Si seulement à ce moment-là j'avais tilter qu'il s'agissait d'un des enfants des personnes du groupe de mon père... Si seulement j'avais refusé, si seulement j'avais flairé le coup. Bref, j'étais donc allé retrouver mon soi-disant copain, quand je suis arrivée sur le lieu, j'aurais tellement du me douter de ce qui allais arriver. Un lieu désert, pas une personne, juste mon père devant moi qui me somme de revenir à Kiri avec lui. Je tourne les talons et j'entends mon père qui s'excuse et ordonne à des personnes que je ne voyais pas encore de m'abbatre... Je me souviens encore de ce moment, ou je me retourne et m'élance vers mon père pendant que la dizaine de personne sous les ordres de mon traître de père s'élance sur moi. Je ne put faire que quatre foulée avant que quelqu'un me donne un grand coup dans mon genou gauche et que je m'effondre lourdement sur le sol... La suite... Je n'y arrive pas à la raconter. Je sais juste que je me suis réveiller avec les vêtements en lambeaux et une envie de vomir ainsi que mes bleux et quelques plaies pas bien profonde. Je me souviens avoir marcher vers l'avenue principal, quelqu'un venant vers moi me demandant comment j'allais... Et là... Plus rien. J'ai du m'évanouir. Je me suis réveillée hier dans l'aprés-midi et j'étais déjà soigné et prête à partir. Alors je n'ai pas chaumé, et j'ai quitté l'hôpital le plus rapidement possible.

Le vrombissement de la moto s'arrêta devant l'immeuble ou j'habite maintenant. Raîko est des services spéciaux de Kiri et a pris l'initiative de me faire déménager dés qu'il a su dans quel état on m'a retrouvé. Vu l'argent dont je dispose il n'a pas eu de soucis pour faire passer ce déménagement dans le plus grand des silences et la plus grande discrétion. Bref, dans un soupire je descendis de la moto, enleva mon casque et entra dans l'immeuble, je me mit dans l'ascenseur et monta au vingtième. A cet étage il n'y a qu'une porte. Je l'ouvris avec mes clefs et suivis de Raîko avant que je ne découvre enfin mon nouvel appartement largement plus grand que l'ancien et bien plus sympathique. Une décoration ressemblante à l'ancien et une grande ouverture sur toute la largeur du salon. Je ne m'éverlla pas longtemps avant de me déchausser et de fonçer vers la douche.

Je me déshabilla en moins de deux, lanca mes vêtements dans un coin, sauta dans la cabine de douche, enclencha l'eau chaude voir brûlante, et la laissa ruisseler sur mon corps... Au bout d'une dizaine de minute, je me laissa tomber sur les genous, je frappa avec mon poing le mur en face de moi avant de laisser ma main sur le carrelage du mur qui soutenait la douche. Je posa une main sur mon visage déformer par un sentiment froid et haineux. En même temps, je pleurais... Je pleurais à chaude larmes, je pleurais cette faiblesse dont j'avais fait preuve... Mes yeux me firent mal et tout deux prirent cette pupille en fente que j'avais... Je me releva, arrêta l'eau avant de sortir de la douche, je me sécha rapidement, m'engouffra dans ma nouvelle chambre et m'habilla rapidement. Un haut haut avec un coeur rouge au milieu qui s'arrêtait bien avant mon nombril, je trouva une veste noir sans manche et avec un col droit, je prit une minijupe écossaise, de hautes chaussetes noir, mes bottes et laissa mon écharpe là ou elle était. Je passa tel une furie à côté de Raîko qui leva la tête de ses fiches et me dis rapidement que je ne devrais pas faire de connerie. Bref, je sortis en trombe de l'appartement sortit de hors, ma chaîne avec un matricule qui faisait quelques cliquetis autour de mon cou. J'avais une envie de cogner... En témoin de ce sentiment qui m'occupait l'esprit, mes poings se serrèrent plus que rapidement et mon visage était juste déformer par la colère. Je me souviens de ce moment ou j'avais tué quelqu'un pour la première fois dans la folie qui suivit la découverte des ordres de mon père... J'avais tué la personne qui voulait m'étrangler pour mettre fin à ma vie, j'avais activé mon oeil et en quelques minutes il gisait mort. Je pris conscience de sa et sa me mit une seconde envie de vomir que je refoula.

Les sourcils froncer et dans une marche rapide je me dirigeais vers les quartiers malfamé de Konoha. Je leva la tête par moment pour regarder les insignes des boîtes ou des bars, je m'arrêta brutalement et souris. Je m'approcha d'un videur à l'entrée d'une boîte sans insigne et sans signe distinctifs... Toutes les personnes adorant combattre à un moment connaissait ce genre de boîte et surtout celle-là. On les apelle les "Arènes" ce sont des boîtes qui permettent aux gens de combattre dans une arène pour le grand plaisir des plus riches. Je m'y rends que très rarement seule et encore plus rarement pour me défouler. Mais là... Je ne pouvais pas refouler ma colère.

Je m'approcha donc du videur qui me regarda avec un regard noir, son regard glissa sur mon matricule avant de secouer la tête de droite à gauche... En un quart de seconde son corps se retrouva arracher du sol et valsa pour aller s'écraser un peu plus loin. Moi ? Je reposa simplement mes pieds au sol dans un équilibre parfait. Je vous ai pas dit que mes jambes étaient les muslces les plus dévelloper et les plus performants de mon corps ? Elles sont vingt fois plus rapide que n'importe qu'elle mouvement humain parce que pendant plus de 10 ans j'ai porté des poids de 10 kilos au niveau de mes cheville et 5 kilos au niveau de mes hanches. Etant une ancienne d'un des gangs les plus réputée de Kiri... J'avais mes expériences du combat et mes réflexes. Bref, le videur sur le sol, j'entra sans lui jeter un regard. Je passa un long couloir le regard rivée sur l'arène et les bruits du commentateur et de la musique, les hommes me reluquait sans gêne et deux se prirent un coup de genou remonter au plus haut possible dans leur entrejambe en essayant de me mettre une main aux fesses. Quand j'arriva enfin dans la pièce principal, un immense sourire se dessina sur mes lèvres... Le dernier challenger venait de sortir du ring.

Le commentateur et DJ de la boîte se trouvait en hauteur pour surplomber toute la salle, l'ambiance était sombre et inquiétante ainsi qu'accompagner avec une touche de charme vu la tenue des serveuses. Quand le commentateur demanda un nouveau challenger pour le champion qui était entrain de saluer les spectateurs en montrant ses muscles, j'arca un sourcil amusé. Pas de problème ! Je leva une main avant bien haut pour dire que je voulais entrer dans l'arène. Le commentateur me remarqua...

-Whooooooooooooooooooo ! Messieeeeeeeeeur ! On a une jeune donzelle qui vient d'arrivée et elle veut se frotter aux champions ? Elle devrait retourner sur le trottoir ici c'pas un sport pour une fille ma belle ! Faut pas abîmer un tel corps que le tiens !

Je ricana doucement avant de m'avançer d'un pas décider vers le ring, je passa dans la cage de l'arène avant de fermer moi-même la porte. Je poussa un petit soupire avant de regarder la montagne de muscle qui rigolait d'un rire gras elle me voyant. Je ricana avant de m'élancer d'un bond vers lui, il ne prit pas sa au sérieux et quand je sauta pour tourner mon bassin et lui offrir le même coup de tibia dans la joue qu'au videur... Il ne pensa même pas à parer, il pensait vraiment que je rigolais tiens ! Je connaissais le niveau qu'il faut avoir pour entrer et sortir vivant de ses arènes. Et je savais aussi que si on m'énervait à un point asser haut... Je faisais quelques prouesses. Dans un sourire, j'allais me lâcher sur cette boule de gras qui pensa enfin à esquiver en se baissant.

Dans un énorme bruit sourd, j'avais abaissé mon pied de manière fulgurante, entraînant le reste de mon corps dans un salto avant avec les jambes tendus, la tête du soi-disant champion rencontra le sol de manière violente et j'attéris sur ses épaules avec un équilibre légèrement bancale. Je fronça les sourcils, je dois faire attention quand je repose mes pieds ! Quand l'énorme boule de graisse voulu riposter, j'étais de nouveau partie dans les airs et mon mouvement de hanche fut plus rapide que son regard qui avait une vue sur mes sous-vêtements. Bref, il se retrouva avec la tête câler entre deux barreaux de la cage, le nez pétée. Je posa mes pieds sur le sol, soufflant un grand coup avant de me redresser. Il y eu un grand silence dans la salle et appart la musique de fond qui le brisait, personne n'osait un commentaire.

-C'est... C'est... INCROYABLEEEEEEEEEEEEEEUH ! Cette donzelle vient de mettre K.O l'ancien Champion !

Ainsi... J'enchaîna les combats les uns aprés les autres, me frottant à tout les cabaris. Quand j'étais pleine de sueur et alletante face aux derniers qui venait d'être K.O avec plus de difficultée vu qu'il était aussi Aérien que moi... Je put enfin me déclarer vainqueur de cet manche aussi et je souris doucement, levant ma main vers le plafond avant de refermer mon poing. Je sortis finalement de l'arène avec le sourire et j'étais un peu mieux à vrai dire... Je m'étais défoulée et cela m'allais, je me mis au fond de la salle, un verre à la main et laissant les exitées du combat qui ne s'était pas encore défoulée entrer dans l'arène. Je passa une main sur mon matricule... Ce pendentif... Je soupira avant que le commentateur me grille ! Sous mes yeux plus qu'énorme, je constata avec une certaine gêne qu'il était de Kiri et surement de ma ville...

-Alors ? De nouvelles personnes pour affronter notre Gazelle ? Alleeeeeeeeeer ! La nuit est pas finis !

Je soupira lentement et me détendis... Non c'était juste un surnom. Personne appart les services secrets de Kiri avait la trace de mon "surnom" quand j'appartenait encore à un ancien gang. Bref, je reposa mon verre au bar et m'adossa de nouveau contre le mur du fond, je resta pensif et je sorti de ma léthargie quand quelqu'un m'adressa la parole... Il me fallut un moment avant que je comprenne qu'il s'agissait d'une connaissance. Je souris doucement. Je passa une main sur mon visage et remis une mèche de cheveux devant mon oeil gauche. Avant de tourner la tête vers la gauche et de regarder les grands gérants de grosse boîte lever leurs verre à mes victoire, j'hocha la tête comme réponse. Avant de reposer mon regard sur la tête de mon collègue.

La vie est si insignifiante aux yeux de certains.

Tellement impure, tellement désuète...En fait, tant que ce n'est pas sa vie, l'homme se fout de se qui se passe autour de lui.C'est vrai, il s'informe des malheurs des autres...Car il a peur que ça lui arrive.Non, je ne crois pas que le genre humain s'améliorera un jour....C'est horrible, juste pour se distraire, il créent des combats à mort...

Telles étaient les pensées de Sora, dit le "Loup de Nothraï", ici, dans le milieu des arènes.Le jeune homme était en mission pour identifier et inculper les organisateurs de ces combats.Car souvent on corrompait des ninjas pour faire ça, permettant une ouverture à une nouvelle guerre.

C'est alors qu'on l'appela...Une femme entra, les cheveux blancs, les yeux d'un magnifique doré et une longue chaine autour des bras.Cette femme n'avait pas de pupilles, et sur son oeil gauche on voyait un crâne tribal, une marque de naissance, tout comme les flammes tribales de votre prof de genjutsu préféré...Cette femme était une Kobuchi.

Sheena Françoise Kobuchi, pour être précis.C'est une longue histoire, mais je vous dirai juste que c'est la jumelle de Sora.C'est de là que vient le blanc immaculé et les formes splendides de son corps de nymphe.Sur ce, elle fit claquer sa chaine.

"Entre donc, petit frère.
-Tssss...toujorus aussi fière de ta seconde d'avance..."

Sora entra, encapuchonné, une longue cape noire sur lui.Il cachait trois katanas:un petit au fourreau noir-je dirais même que c'est un poignard-, un moyen au fourreau et au manche rouge, et un dernier, noir, long d'un mètre trente.Et tout sa sous sa grande cape.Le jeune homme repensait à sa journée, tout en la racontant à sa sœur.Ils s'adorent, mais elle est chasseuse de prime, lui est assassin.Ils sont donc des ennemis de travail.

Le professeur de genjutsu avait passé sa journée à ne rien faire, comme d'hab.Seulement ce coup-ci, il avait fumé plus de clopes.Mais bon, personne n'entendait rien à part les deux jeunes gens, puisque la musique et les cris du public couvraient tout.

Bref, Sora prit le poignard dans sa main gauche et le sabre moyen dans la main droite.En six minutes, il avait gagné.Il n'avait même pas dégainé.Le jeune homme s'était battu avec les fourreau de ses lames, comme d'habitude.Sora n'aimait pas tuer dans ces arènes pourries.

Le jeune homme s'éclipsa de l'arène quand il reconnut quelqu'un.S'approchant furtivement, tranquillement, toujours masqué par sa capuche, il tira une cigarette et l'alluma, calme.Le professeur de genjutsu s'arrêta derrière sa collègue.

"T'en a pas marre de taper sur tous les garçons que tu vois?"

Je poussa un léger sourire avant de chercher la véritable raison de ma venu ici... Oui j'avais envie de me défouler, et aprés ? Aprés ce qu'il s'était passé j'avais aussi besoin de me remonter au niveau. Bref, je posa mon regard émeraude sur mon collègue, avant d'hausser les épaules, les bras croiser et un pied poser sur le mur ou j'étais adossée. Sur le moment, non j'en avais pas marre, taper sur des machos profond qui pense avec leur entrejambe ne me gênais nullement surtout aprés la soirée d'il y a deux jours. Je souris doucement, de manière amer et essayant de ne pas me rapeller des parcelles de souvenirs de cette agréable soirée... Je raillais bien entendu. Un douleur lacérante me fis déplacer mon poid sur l'autre jambe, la gauche semblait vouloir fléchir. Mon genou m'arracha une grimace de douleur avant de décoller mon dos du mur. J'haussa une nouvelle fois les épaules.

-Un peu, mais sa me défoule.

Défouler... Un verbe que j'utilise rarement sauf quand je suis dans une colère ou dans une situation extrême et encore, pour que j'en vienne au main il faut vraiment réussir à me saouler. Dans un bref soupire, je regarda l'arène, je testa mon genou en le pliant légèrement et... Une douleur passa rapidement dans toute ma hanche et remonta jusqu'a mon épaule. Je grimaça, oui bha les combats c'est bon pour aujourd'hui. C'est justement à ce moment-là que je tourna mon regard vers une table pour voir les prochains challenger que je tomba sur un des visages de la petite dizaine d'homme que mon père avait engagé... Dés que je croisa son regard, il sembla me reconnaître et me souris de manière si perverse et plein d'arrière pensées que mon sang bouillona, mon poing se ressera vivement avant que je baisse doucement la tête, laissant mes bras se remettre le long de mon corp et tremblement me prendre... Une larme coula le long de ma joue. Si lentement... Que sa m'énervait davantage. Je n'avais pas les dents serrer, et d'un mouvement, je donna un fort et lourd coup de poing dans le mur dérrière-moi. Je n'avais qu'une envie : lui faire regretter.

Une main se posa sur l'épaule de l'homme en question qui avait ranimé des mauvais, très mauvais souvenirs, cette main appartenait à un homme avec des cheveux blond, des yeux vert et une forte carrure tout en étant asser mince. Un visage ressemblant au mien avec une certaine durêtée. Des traits plus muscalin et cet homme qui riait à la table en arrière de l'autre côté de la salle dans l'ombre était bien mon père et les hommes qui les accompagnait... Sans commentaires.

Dés que je vis le regard de deux des autres hommes se poser sur moi et arboder le même sourire pervers et supérieur, je serra de nouveau mon poing avec une nouvelle force avant de tourner les talons. Mon genou me faisait mal, je ne pouvais plus combattre sans avoir le risque de me le briser. Pourtant, ce n'était pas l'envie de leur fait regretter qui me manquait, mais là... Non, j'avais besoin de me reposé. Une deuxième larme coula le long de ma joue alors que je passa à côté de Sora pour reprendre le chemin par lequel j'étais venue.

J'étais dehors depuis un moment, je respirais plus que bruyament l'air du soir... Qu'est-ce qui m'avait pris ? Aller dans une arène pareil, combatre par pur envie de me prouver à moi-même que je n'ai pas baissé de niveau... Je lui avais promis... De ne plus recommencer... Je passa une main dans mon cou qui me brûlait, je me tourna vers le mur sur lequel j'était adossé posa une main dessus avant de me retourner et de prendre le chemin... N'importe, juste celui ou mes pieds voulaient me guider. Vers une morte certaine ou vers des emmerdes. Je m'en fichais, pourvus que je me calme, ne pas me mettre en colère... Ne pas... NON ! J'avais du mal à régulariser ma respiration, je tenais mon oeil gauche fermer, comme quelqu'un qui tient la porte d'une cage fermer de peur qu'un fauve s'en échappe... La dîtes "Gazelle d'Aphrodite" se résumait à sa... Devoir lutter contre sa propre colère. Je déssera les poings lentement... Lorsque, qu'aprés une dizaine de minute, je releva la tête pour croiser le regard haineux de mon père. Je soupira, non, non, non ! Merde il foutait quoi là ? Il semblait en colère et... Paniqué.

-Zest ! Je te somme de rentrer ! Rentre à Kiri immédiatement ! Obeis-moi sale monstre !

Je posa une main sur mon visage... Tandis qu'un fin sourire démentiel apparut sur mon visage... Ce mot. Mon dieu ce mot... Je pétais les plombs, j'en avais plus que marre... Que la folie m'emporte, pour une fois, j'allais montrer à mon père ce que peut faire une ancienne membre d'un des gangs les plus sanglants de Kiri... Marre de me retenir, marre de devoir attendre, marre de devoir me contenir. Aller... Prend ce corp ignoble pouvoir et bute mon père ! Voilà ce que je souhaitais... Juste oublier et sentir les bras chaud d'une soif à arrêter. Monstre... Les seules fois ou j'ai entendu ce mot... C'était avant que je l'active. Père ou non... Flem de me retenir.

Dans un ricanement démentiel et prise de folie, je poussa les mèches de cheveux de mon oeil avant de montrer mon splendide oeil émeraude dont la pupille noircissait et changeait de forme pour désiner une rosace. Un symbole au milieu, un symbole presque insible sauf si on se concentrait au milieu de cette rosace... Là on la voyait, cette rose sans épines que j'étais. Je laissa mon père contempler cet oeil. Cet oeil qui me dévorait et était entrain de soumettre mon esprit aux pires tortures qu'il soit, je revivais chaque souvenir les plus douloureux en boucle... Et j'en avais un très long que je revivais et que me détruisais lentement et me faisais perdre toute confiance en l'homme. Je sentis le regard de mon père contempler avec dégoût mon oeil... Et c'est à ce moment-là... Que je captura le frêle esprit qu'il était. Le corps de mon père perdit toute vie, son regard voilée, moi je m'approchais doucement, avec un sourire démentiel qui déformais mon visage... Il était pris dans un rêve... Que je faisais tourner aux cauchemards. Il entendais les cris de son chèr fils adorée et les doux hurlements de sa fille qui se faisait violer il y a deux jours par ses hommes de mains. Il entendait juste les hurlement de celle-ci et sentait les douleurs des coups, son genous que je tentais de protéger tant bien que mal et le sentiment de trahison qui m'avait envahi ce moment là... Mon père avait juste laissé faire et ordonner. La seule chose que j'ignorais des techniques de Genjutsu c'est qu'elles étaient visibles, un fort flux de chakra pour l'utilisateur et l'autre avait son chakra et son fluide vital complétement débousollé... Mais de plus du réalisme de mon action c'est qu'avec un minimum de maîtrise du Genjutsu ou pouvait être spectateur de ce que je montrais à mon cher papa. Avec ce sourire démentiel qui trahissait la souffrance que j'éprouvais. Je voulais le tuer... Avec cet oeil.

[J'vais la faire courte parce qu'il y a eu un bug et mon post a été supprimé...]

Sora était perché sur l'une des multiples aspérités des toits de Konoha.Il restait là, observant la scène de ses yeux neutres.Le jeune homme devait intervenir.D'une part pour éviter à Kiri de faire un scandale, d'autre part parce que même si c'était un enfoiré, ce type restait le père de Zest.

Mais, en même temps, la vengeance est douce, séduisante attirante....Sur le moment.Car en fait, ça n'apporte rien, ça n'arrange rien et surtout ça ne remet rien dans l'ordre.

Sora disparut dans la nuit sombre.Une fraction de seconde plus tard, il assommait Zest.Son père?Rien à foutre.Soit il sortait de l'illusion et assistait à l'enlèvement de sa fille, soit il y restait, et c'est pas grave, de toute façon, en y réfléchissant, ce n'est pas le mode opératoire d'un assassinat prémédité.Un ninja expérimenté remarquera vite que le meurtre a été fait avec un genjutsu, alors que ce fait est toujours très habilement dissimulé.

Le jeune homme aux cheveux blancs déposa Zest sur la banquette arrière de sa magnifique Porsche bleu métallisé avec un cuir rouge carmin et un tableau de bord ivoire.Le bonheur quoi.Bref, Sora démarra en trombe et fonça vers les montagnes.

[Je vais poster dans les montagnes, et je me fous de ton avis!xD]