Malaise Mâle aise![Zestouuuu!][Hentai!][Fini]

Cette musique... Breeky ? Les yeux fermer... J'étais dans un néant des plus total.

Mes yeux se rouvrit, je sentais quelque chose d'humide sur mon front, j'avais chaud, j'étais bien, je ne sentais plus le froid de le nuit, je sentais chute une chaleur réconfortante, je plissa les yeux légèrement, les ouvrant lentement, je fis une grimace de douleur en sentant mon oeil me tirailler de douleur et me rapeller de la pire des manières ce que j'avais fais avec celui-ci... Je posa une main dessuss, remontant ma main sur mon front et sentit l'eau chaude sur un surface spongieuse... Je prit cette chose qui m'avait tiré de mon sommeil, la mis devant mon oeil qui essayait vainement de se réhabituer à l'environnement de la vie et non du néant. Ma vue était complétement flou, je ne savais pas si il y avait de la lumière, ni ou j'étais. Je reposa la chose imbiber d'eau chaude sur mon front, gardant cette sensation d'humidité dans l'océan de chaleur ou j'étais. Sur ces paroles, j'ouvrit les yeux brutalements, et étouffa un gémissement de douleur en oubliant qu'un de mes yeux n'aimaient pas vraiment d'être ouvert et devait se rétablir. Je l'avais trop sollicité, je me leva d'un bond, regarda autour de moi et tatonant les tissus et les différentes choses que je sentais du bout des doights... Je fis le moins de bruit possible, je ne savais pas pourquoi, mais je le fis tout de même. Ayant peur que ce qui m'avait ramené dans cet environnement plutôt acceuillant ne soit pas un truc méchant et sadique. J'entendis un miaulement incertain, et je sentis une masse s'enfonçer dans la couette. Couette ? Mon oeil et ma vue se rétablit et je tomba nez à nez avec le Chat de Sora qui se frotta contre mon bras qui tenait un pan de la couette que j'avais enlevé de mon coeur. Cette bouille de chat ronronnant et demandant quelques câlins à une paumée dans un lit et ne se souvenant que... Que... Que de vertige et d'une soirée mouvementer en partie. Je m'efforça de faire marcher ma mémoire de poisson rouge, essayant de savoir ce qui c'était passé. Je mis quelques minutes avant de me souvenir... Sora avait fait une crise et je l'avais ramené à la raison en utilisant mon oeil... Je soupira longuement, avant de voir le chat me regarder. D'une main encore endormis, je lui posa doucement sur la tête et le caressa machinalement, avant de voir celui-ci se coucher à côté de voir, et ronronnant de plus belle. Une vraie petite mercedes. Je souris à cet boule de poil, et continua de le caresser, gratouiller et lui faire de léger bisou sur le crâne qu'il semblait apprécier. Je laissa le chat s'endormir sur mes jambes en tailleur sur la couette, je le regarda faire, se rouler en boule tranquillement et s'endormir sans se demander si je ne voulais pas allonger mes jambes... Bref, je le laissa, ayant de nouveau du temps pour réfléchir et penser. Dans un ultime essais, j'ouvrit lentement mon oeil dont la pupille n'était qu'une fente noirâtre et dont la couleur émeraude avait viré au rouge. Je sentis une douleur lacérante me parcourir l'échine dans un frisson, avant que je cligne plusieurs fois des yeux et arrivent à avoir mes deux yeux ouverts pour scruter la pièce ou j'étais. Mais je savais une chose, j'étais chez Sora. Je regarda rapidement ou j'étais, les murs, la pièce, le lit ou j'étais entrain de dormir, d'une main je rattrapa la serviette qui avait perdu l'eau et qui se décollait lentement de mon front. J'avais une légère odeur de sueur... Je la regarda et la posa à côté de moi. Depuis combien de temps étais-je ici ? Ce fut la seul question que je me posais. La nuit était toujours tombé, profonde et noir. Soudain, dans un souffle, je me tourna brusquement vers un sofa à côté du lit ou j'étais assise en tailleur avec le chat sur mes jambes.

J'entendis une respiration régulière, simple, souple, et semblant pas pouvoir être brisé. Je reconnut la tête blanche du jeune homme qui avait eu la gentillesse de m'héberger une seconde fois. Je me trouvais légèrement cruche de mettre imposer ainsi pour un problème de santé... Je soupira, avant de regarder Sora dormir, il semblait si paisible qu'il m'arracha un sourire attendrit. Oh mon dieu que cela faisait longtemps. Je le regardais dormir, il semblait d'un petit enfant, bien qu'un enfant ne prend pas tout un Sofa pour dormir. Je ne voulais pas le réveiller, bien que le miaulement aigus du chat avait put le faire... Lentement, je continua de scruter la chambre de Sora. Regardant dans les moindres détails la pièce avant de laisser mon regard retomber sur le chat qui dormait, ne ronronnant plus, ayant une petite respiration légère et presque inaudible. Il était rouler en boule, la tête fourrer entre ses pattes. Je finit par avoir le regard vide... Avant de fermer mes yeux, sentant la douleur disparaître petit à petit. Je fit glisser le chat en dehors de mes jambes, l'épaisse couverture permettait aisément que je le bouge de mes jambes sans qu'il le sente apparament. Je laissa le chat dormir, me rallongeant et passant mes bras dérrière ma tête... Mon oeil reprenant lentement mais surement sa couleur émeraude, et mon autre oeil commençait à se remplir d'eau... Je posa une main sur ma bouche, étouffant au mieux mes sanglots. Une larme coula, puis deux, puis trois, puis quatre... Puis beaucoup. Il fallait donc toujours que je pleure ? Je tremblait, m'allongeant de côté, me recrovillant et me rapprochant de la présence du chat auquel je laissais la place au centre de mon petit cercle. Le chat se réveilla, et me jeta un regard suspect... Avant de se lever, s'étirer, et de venir caresser avec sa tête un coin de la mienne. Je sortit une main et lui répondis en le caressant, séchant mes larmes et enlevant toutes traces... Du moins, j'essayais. Je laissais le chat repartir, et moi dans le silence. Je me redressa de nouveau, une envie irressistible de regarder de nouveau Sora dormir comme un ange apaisé... J'avais ce sourire attendrit sur les lèvres et je n'arrivais pas à me l'enlever ! Finalement... Je vis le chat débouler en direction du Sofa.

-Non !

Et le Chat sauta toute griffes dehors sur le pauvre professeur de Genjutsu, je me mordis la lèvre inférieur sur le moment... Regardant la boule de poil apeurée ?! Qui venait de troubler quelqu'un dans un sommeil qui semblait paisible, ou tout du moins, en apparence.

Je regarda le Chat revenir vers moi dés que Sora tomba du Sofa, je le regarda faire et je laissa mes mains entourer cette boule de poil, je regarda mon collègue se craquer le cou plusieurs fois et dire qu'il n'avait jamais aussi mal dormis. On aurait pas dit. Bref, je regarda cette boul de poil regarder son maître avec d'immense n'oeil de chat, je fis un demi-sourire avant d'entendre le dernier craquement sonore de la nuque de Sora qui me fit sursauter. Comment il pouvait ne pas avoir la nuque brisée ? Je soupira avant de me lever et de laisser le chat sauter à côté, je m'étira rapidement. Gardant un silence, avant de suivre Sora dans le salon. Je laissa un blanc s'installer regardant Sora fumer... Je soupira, je ne voulais pas m'imposer pour ce soir. Il ne pleuvait pas, je n'avait aucune raison de rester. Mon malaise était passé et mon oeil allait déjà un peu mieux. J'avais enlevé la mèche de cheveux qui le recouvrait habituellement, laissant à la vue de sora cet oeil avec, comme pupille, cette fente noir, sa couleur émeraude encore rougeâtre. Sora me demanda si j'avais faim, je fis "non" de la tête et regarda autre part...

-Je ne veux pas m'imposer. Maintenant que je vais mieux... Je préfère rentrer chez...

La fin de ma phrase fut coupé, j'eu un énorme blanc.. Ou plutôt noir, ma vue se troubla et je recommença à chuter. Je repris connaissance, et posa une main sur le premier meuble à porter de main, me tenant droite grace à celui-ci. Je secoua vivement la tête, essayant de sourire pour faire croire de rien. Je n'étais pas encore réellement rétablis... Mais je ne voulais pas passer une nuit ici, pas que cela me dérange, enfin si... Mais non, bref c'est compliqué. Je me mordis la lèvre inférieur avant d'enlever la main qui me permettait de rester debout sans chanceler. Je m'approcha de Sora qui était sur le chemin pour aller remettre mes bottes et partire. Je lui adressa un sourire fatigué et forcer... J'avais de nouveau de petit vertige, et je me doutais bien que cela allait empirer. Dans un pas, je sentis de nouveau le noir total, me prendre, et je chuta sur Sora. Quand je "repris conscience" je vis le visage de Sora proche du mien, et sans vraiment le vouloir, je rougis... Oui, une terrible rougeur me pris, je me releva rapidement, secouant la tête et regardant autre part... Me mordant la lèvre inférieur, ne voulant pas braver le regard de Sora.

-D... D... Dé... Désolée... Je... Je vais rentrer... Chez moi.

Je bégayais ? Sa ne m'étais pas arriver depuis un bon moment. Je fis un mouvement de recul, chancelant sur mes jambres, l'esprit pas bien net... La mèche de cheveux retomba rapidement devant mon oeil, elle était plus épaisse et cachait la moitié de mon visage à Sora... J'étais toujours entrain de rougir comme une lycéenne paumé qui venait de tomber nez à nez avec celui qu'elle aimait en secret... Une timide coinçé... Et pourtant, dieux savait que je ne l'étais pas.

Sora fumait.Il restait là, à rien faire, à rien dire, les yeux calmes.La cigarette s'éteint d'elle-même une fois que l'ersatz de braise eut atteint le filtre en mousse.Sora lança le filtre quelque peu grillé droit dans le cendrier le plus proche, soufflant lentement la fumée claire de sa cigarette.

Quand Sora vit le prof d'arts plastiques vaciller, il posa une main exaspérée dans sa chevelure blanche.Il ne comprenait pas pourquoi, par pure politesse, et non pas pour une chose qui n'engage que le caractère de la personne en question, les gens refusaient d'être aidés, sous prétexte de ne pas vouloir gêner...Si elle gênait, Sora ne l'aurai pas mise dans son lit, il l'aurait laissée dans une chambre d'hôpital et se serait cassé.

Il leva un sourcil, soupirant.Si elle tenait tant à refaire un malaise, pourquoi se retenir?Nan parce que si elle habite loin du cimetière, elle ne fera même pas le huitième du trajet jusque chez elle, dans cet état là.Sora se demandait même si Zest pouvait descendre seule les huit étages.

Mais revenons aux moutons de Sora.Non, il ne les fouettait pas, non, il ne les tondait pas, et il ne les comptait pas non plus.Sora pensait.Pourquoi les gens tiennent tant à être si polis?A quoi cela sert de respecter une personne?Surtout que le respect à plus tendance à hisser une personne au-dessus des autres plutôt qu'à autre chose.Certes, c'est bien de respecter les gens, mais de là à les hisser à un niveau supérieur aux autres....Prenons l'exemple prof-élève.Pourquoi l'élève vouvoie-t-il le professeur et que ce n'est pas réciproque alors qu'ils sont censés être sur un pied d'égalité?C'est totalement absurde!Cela revient à donner une certaine valeur aux êtres humains!Sora trouvait cela hypocrite et futile.

Enfin, quittons ces pensées inutiles pour revenir au vif du sujet.Pourquoi diable Zest rougissait en se redressant?C'est bon, il l'avait pas non plus embrassée...Enfin, techniquement si, mais c'est une autre histoire.Bon hein, on se comprend!Et si c'est pas le cas, tant pis pour VOUS!

Bref, Sora posa une grande main calme et chaude sur l'épaule de Zest.Il avait un gentil sourire paternel...Si j'le connaissais pas je dirais qu'il agit comme un sexagénaire.

"Bah allez, c'est pas comme si t'étais venue pour vider mon frigo et me virer de mon lit...Et puis tu pourras même pas descendre les escaliers dans ton état."

Bah oui hein, faut se rendre à l'évidence, Zest va MAL.Avec un grand 'M' qui fait MAL -c'était kitch à souhait ça dîtes-donc...- .

Au fond, cela me fit plaisir que Sora me retienne un minimum. Bien que je me demande qui m'aurait laissé partir dans mon état, je chancellais, je n'allais pas bien, mon teint de peau était encore blanchâtre... Si on ignore l'affreuse rougeur que j'avais je vous l'accorde. Je ne tenais à peine sur mes jambes et je dois avouer que... Sans que je puisse terminer mon monologue de pensée, mon ventre se mit à gargouiller de manière sonore. Je posa une main dessus et me sentis d'autant plus gêner. Rhoulala que sa n'arrangeais pas la rougeur en plein milieu de mon visage. J'avais les yeux écarquillé et mon autre main allait tripatouiller une mèche de cheveux rebelle qui voulait avoir sa place sur ma joue. Je fit une petite grimace avant de tourner la tête vers Sora. Sa servait plus à rien d'insister, je m'étais effrondé sur lui comme une masse à cause de mes vertiges - qui continuais d'ailleurs - et il savait - tout comme moi - que je n'arriverais surement jamais consciente à mon appartement. Je me ferais surement trouver par un pervers profond, et comme je suis dans les vappes je ne pourrais pas me défendre, je me ferrais violer et tuer. On retrouvera mon corps à moitié dénuder dans une ruel sombre et humide de Konoha, et le sexy commissaire se dema... J'arrête mon délire tout de suite. Je secoua la tête, toujours avec ma bouille d'enfant, je me souvenais de Kuzuaki qui me piégeais contre un mur dés que j'avais cette bouille là, sifflant avec son sourire de pervers que j'étais affreusement mignonne avec cette tête-là. Et le reste... On s'envoyait en l'air. Enfin, pas que le souvenir de mon ex-amant me manque... J'avais fait mon deuil depuis un moment, mais en moi restait tellement de souvenir qui ressurgissait petit à petit... Plus mon moral baissait, plus je me recrovillais dans mes souvenirs. Je soupirais, gardant ma bouille de gamine qui - et je ne l'admetterais jamais - m'embelissait d'une certaine manière.

-Bha je veux bien vider ton frigo hein... Pas trop promis, mais juste un peu.

Dis-je avec une voie d'enfant toute gêner et voulant une nouvelle sucette. Ma bouille d'enfant revient à la charge, juste aprés que ma grimace de gêne disparut, une vraie petite bouille de gamine de 5 ans. Je sentais les pattes du chats s'appuyer contre ma jambe droite, me baissant et me tournant vers lui. Celui-ci sauta sur mes épaules et s'installa, je caressa avec tendresse et attention sa petite tête. Entendant la mercedes tourner à plein régime. Je me releva, et laissa le chat ou il était. Apparament je lui plaisais beaucoup. Je me tourna vers Sora, un sourire au lèvre, ma bouille de gamine ayant disparut de mon visage, et je remit d'une mouvement de main la mèche de cheveux dérrière mon oreille laissant mes yeux visibles. Sur ma voie ironnique que je força un peu à cause de mes vertiges qui persistaient et ne m'éclaircicait pas les idées.

-Au moins ton chat dira jamais non à que je reste.

Je ricana, un rire un peu poussé je dois dire. J'étais toujours à moitié dans les vappes. Manger me donnera surement un peu plus d'énergie. Je regarda Sora, croisant son regard avant de laisser le mien se vider, se perdre dans celui du pseudo-psycopathe en face de moi. Je cherchais à le comprendre, à le cerner, à savoir ce qu'il allait faire, je cherchais à le définir en un mot. Ce qui était impossible. Je détourna rapidement mon regard, portant mon regard émeraude sur la tête du chat qui se frotta contre la mienne, passant une main dérrière ses oreilles pour les gratter doucement sous les ronronnements de la mercedes qui redémarrait. Aprés avoir calmer les pulsions affectueuse du chat pour quelques minutes, vu qu'il descendit de mes épaules pour aller je ne sais ou. Je reposa mon regard sur Sora, soupirant et croisant mes bras avant de me tourner vers la baie-vitrée... La nuit était magnifique... Belle, limpide et la lune était là, éclairant tout Konoha. Je dois avouer que Sora avait une superbe vue dessus... Bien mieux que la mienne. Surtout que ma baie-vitrée servait plus aux voisins de me voir me balader le matin d'un week-end en petite culotte et T-shirt lorsque je me réveille. Je soupira pour la énième fois... Reprenant une voie de gamine enthousiasme et forcément faussé. Je voulais demander à Sora si il avait besoin d'aide, mais rien ne sortit d'entre mes lèvres... Rien, aucun son, aucun bruit, un nouveau vertige me pris et je préféra m'assoir sur le canapé, me lâchant au-dessus pour attérir comme une masse dessus... Je posa ma main sur mon front fiévreux... Youpi.

J'entendis le rire de Sora et je fus heureuse de le voir rire de bon coeur. Rire aux larmes, il m'arracha un sourire sincère avant que je reste posé sur le canapé vert pomme. Ayant mis mes jambes dessus et mes pieds en chaussetes, je n'étais pas allongée, assise, mais avec mes jambes sur le côté, replier vers mes fesses et mes pieds essayant de sentir la texture du cuir a travers ma paire de chaussetes un minimum épaisse. L'odeur de la cuisine que faisait mon collègue me titilla rapidement les narines et mon nez, suivit de ma curiosité m'amena à dresser la tête autant que je put pour voir le professeur de Genjutsu, me tournant le dos, entrain de remuer une délicieuse odeur de miel. Je ferma les yeux, comme une enfant, remettant ma tête droite et essayant de contenir ma cursioité native pour avoir la surprise de ce que préparait mon collègues. J'espérais que cela me redonne des forces... Sinon, je ne savais pas trop quoi faire appart du repos ?! Mes vertiges continuant, mais moins violent que quand j'étais debout et surtout moins voyant. Je respirait toujours à pleins poumons cette douce odeur de viande et de miel... L'eau me montait doucement dans la bouche et j'avais hâte de voir ce que Sora préparait. Une certaine existation d'enfant la veille de Noël qui attend dans son lit que le papa noël vient pour lui déposer ses cadeaux sous le sapin... Dans un soupire amusée, je regarda le plafond, respirant et essayant toujours de deviner ce que me cuisinait mon collègues. J'entendis un bruit de couvert, puis, quand je baissa mon regard, je vis la table basse s'approcher de moi avec une table mise pour une personne. Sora allant tirer une cigarette et me laissant dans l'émerveillement de la présentation de ce qu'il m'avait fait. J'avais des yeux gros, et limite une goutte de bave au coins des lèvres tellement j'avais faim et ce que j'avais devant les yeux me plaisait fortement... Du moins, en apparence. Je tourna la tête vers Sora qui fumait plus loin, et lui offra l'un de mes plus beaux sourire en remerciement, sautant sur les couverts - Façon de parler - et m'attaqua à cette viande recouvert d'un nappage de miel qui mémerveillait les papilles gustatives et les narines... Bref, je m'attaqua à la viande. Et dans un soupire de délice, je mangea d'une vitesse normal la viande qui avait un goût exquis.

Une fois ayant bien mangé, je piqua de ma fourchette le dernier morceau de viande, m'approcha de Sora, lui piqua sa cigarette - qui devait être la troisième - d'entre ses lèvres, posant deux doights sur son menton, lui ouvrant la bouche et lui mettant le bout de viande dedans. J'eu un petit sourire gamin, regardant le professeur de genjutsu avec un regard enjoleur avant de retourner à ma place, prendre le plateau avec les couverts, repoussé la table basse à sa place et aller dans la cuisine, sifflant légèrement un air de musique, je fis rapidement la vaisselles, rapidement mais bien tout de même. Avant de me sécher les mains avec un torchon.

-Merci, tu cuisines vraiment bien !

Je termina de me sécher les mains, jetant le torchon sur le plan de travail à côté du lavabo. Je sortis de la cuisine, m'approchant de Sora, je ne sais même pas ce qui m'a pris ensuite, et ne me posais pas de question là-dessus ! Je posa une main sur le mur de dérrière lui, ma main étant juste à côté à la hauteur de ses pectoraux, j'étais en face de lui, un petit sourire aux coins des lèvres. Bien en face de lui, voyant la cigarette que je lui avais rendu entrain de se terminer, je lui vola une nouvelle fois, l'écrasa dans le cendrier et m'approcha de lui, de ses lèvres, de son visage. J'effleura ses lèvres avec les miennes, déposant un léger et doux baiser au coins des siennes avant de me retirer, je le regarda bien en face un moment, avant de m'éloigner d'un mouvement en arrière, m'étirant. Je croisa les bras, tournant légèrement le dos à Sora, nullement gêner de ce que je venais de faire. Et ne me demander pas pourquoi bande de curieux !

Un sentiment d'indifférence, non, d'amitié... Non plus, je ne pense pas. Mais d'attirance alors ?! Oui peut-être, m'avait surement pris pour que je fasse sa. N'allait pas croire que j'étais en manque et que je voulais ne plus l'être en allumant Sora et le laissant me prendre... Non, je ne suis pas comme sa. Je fis quelques rapides pas dans le salon, avant de voir le chat rappliquer pour avoir quelques gratouilles, je me baissa vers lui, oubliant ma minijupe et posant ma main gauche un peu plus bas que mon genou, tandis que la droite caressait doucement et avec assurance les oreilles du chat de Sora. Tender je crois... A ce que j'avais compris, Tender était le nom de cette adorable boule de poil que j'aimais de plus en plus. Une vraie machine de demande de câlin !

Sora regardait la lune, fumant.Zest était traitée comme une princesse, et il s'en foutait royalement.C'était juste une grande fille qui voulait être heureuse et insouciante comme une enfant.Il n'y avait pas de mal à ça.Non, il n'y avait aucun mal à ça...Sora voulait la même chose, mais il le demandait mal, très impoliment, violemment, dans un bain de sang.Sora, qui était dans ses pensées, laissa la princesse manger.

Pourquoi, mais pourquoi se sentait-il obligé de tuer pour aspirer au bonheur?Est-ce que ça égayait sa journée de massacrer un pauvre type sans défenses?

Le pire de tout, c'est que la réponse était oui.Sora aimait tuer.Il adorait ça même, et si on lui demande de tuer, il le fait avec le grand sourire.Le coude sur le mur, il laissait son bras retomber sur son crâne, tandis que son avant-bras était quasiment aligné avec la magnifique ligne de son torse.Il fumait tranquillement, dans ses pensées, réfléchissant...

Jusqu'à-ce qu'on le sortit de ses pensées!Zest lui avait piqué sa cigarette.Sora détestait ça.Mais ça apportait quoi aux gens de lui piquer ses calmants juste pour lui faire chier?C'est vrai quoi, c'est inutile!Et sans raison apparente en plus!De plus, il aimait sa troisième cigarette.Oui, Sora aimait les cigarettes qui sont représentées par des nombres premiers ainsi que sa dix-huitième cigarette, qu'il savoure plus que tout.La douzième aussi, il l'adore.Simplement parce que 18/12 est l'abréviation de sa date d'anniversaire.C'est anecdotique, mais celui qui a piqué sa dix-huitième cigarette à Sora, lors d'une mission, enfin, c'est un ennemi qui la lui a coupée, mais il est mort après une semaine de torture avec une heure de pose toutes les douze heures.Je peux vous dire que ce gars là n'a jamais pu recommencer.

Bref, Sora ouvrit la bouche pour riposter quand Zest l'obligea à faire 'AAAAAAAAAH' et à manger le dernier morceau de viande.Sora le savoura, le décortiqua et analysa le goût.Trop de sel, pas assez de persil.Boh pas grave, ça a plu, c'est l'essentiel.

Quand Zest complimenta Sora, il haussa les épaules.

"J'vis seul, c'est normal.Parce que le resto c'est cher et à vomir au bout d'un moment."

Tandis que Zest faisait la vaisselle, Sora savourait sa cinquième cigarette, fermant les yeux, respirant lentement, calme.Il rouvrit légèrement les yeux, fixant la lune d'un regard calme et chaud.Soudain, on lui piqua sa cinquième cigarette...NAOOOOOOOOOOON!Le drameuh!Sniiiiiiiiif!Sora avait perdu une de ses meilleures clopes de la soirée!Quelle horreur!

Lorsque Zest embrassa Sora, il ne réagit pas.Son regard était vide, comme d'habitude, mais il était surpris.Seulement, la lune le rendait trop calme pour qu'il ne le montre.Fixer la lune l'a toujours rendu silencieux...Bref, Sora ne réagit pas vraiment.

Mais, d'un coup, dans le mouvement, il prit Zest par l'épaule, retourna sa collègue et embrassa celle-ci.Baiser fougueux?Peut-être.Langoureux?J'vis pas dans leurs bouche!Long?Euh...assez.

Je me redressa une fois que le chat eu son taux de câlin, il s'éloigna, la queue haute et cherchant un endroit ou dormir. Moi je me redressa lentement, laissant mes bras se mettre dérrière mon dos. Je regardais le chat avant de poser mon regard en face de moi, le laissant perdre vie quand je sentis une main se poser sur mon épaule, je voulut poser mon regard sur cette main, quand je me sentis retourner par Sora. Il m'embrassa, sous le choc, j'entrouvis mes lèvres et laissa sa langue rencontrer la mienne, je resta sous le choc, les yeux écarquiller. Ma main droite poser sur le torse de mon collègue. Je ferma lentement mes yeux et répondit au baiser, de la même manière que Sora, laissant mon bras sur son torse et l'autre le long de mon corps. Une légère rougeur me pris sur le visage. J'avais... Non, pas besoin d'un contact humain. Je ne sais vraiment pas comment expliquer sa... Enfin bref. Je rompis finalement le baiser, détournant les yeux et restant toujours aussi proche de Sora... Qu'est-ce qui me prenais ? Dans un silence, je laissa juste mes esprits se remettrent en place. Je faisais quoi là ? Je soupira doucement avant de me retourner regarder le visage du professeur de Genjutsu, je rencontra de nouveau ses lèvres. Je n'avais aucune autre envie de l'avoir prés de moi. J'avais, peut-être et sans doute, envie de Sora au fond... Qui ne voudrait pas d'un beau mat bien foutue avec les cheveux blanc ? Je poussa mon collègue contre le mur de dérrière nous. Je rompis de nouveau le baiser, souriant à Sora, sourire au coin. Un air provocant dans les yeux et ma main gauche poser sur le mur. Je sentis un truc vibrer dans la poche ou il y avait encore mon paquet de cigarette et mon briquet. Je me dégagea asser rapidement pour prendre mon portable, vu le numéro... Je décrocha rapidement... Entendant la voie de mon père asser sèche me parler.

"Zest ? Je te dérange ?"
-Papa ? Pourquoi tu m'apelles ? Tu as vu l'heure ?

Je jeta un rapide coup d'oeil à la montre de Sora. Regardant asser byzzarement le cadran... C'était quoi ce délire ? A cet heure ? Mon père m'apelle ? Sa sent pas bon. J'entendis un petit silence avant que mon père me réponde en s'éclaircissant la gorge.

"... Qu'est-ce que tu as fait ?"
-Quoi ?
"L'hôpital de Konoha m'a apellé... Quelqu'un t'a amené au urgence inconsciente avec ton oeil qui saignait. Qu'est-ce que tu as fait ? Qui c'était ?"

Je m'étrangla à moitier en entendant le ton de mon père. J'écarta rapidement mon oreille du téléphone...

-J'ai... Hem... Fais mes choix.
"En utilisant un oeil qui peut te faire crever ? Pourquoi tu as fait sa ?"
-Choix personnel.
"A qui ? A l'homme qui t'a ramené ? Tu sais que c'est ce Salaud qui a buté Iruhi !"
-Mesure tes propos papa.
"... Quel jolie appartement dis-moi. Il est riche ? Tu manques d'argent maintenant ?"

Il eu un silence... Je regarda par la baie-vitrée... Fronçant les sourcils. Avant de me forçer à ne pas m'étrangler en comprenant comment il savait ou j'étais. La colère me prit rapidement, mais... Mon sang froid reprit rapidement le dessus.

-Tu m'espionnes maintenant ?
"Là n'est pas la question !! C'est toi qui lui a demandé de tuer ton frère ? Et tu le payes comme sa ? Avec ton corps ?"
-... Tu me dégoûtes.

Sur ces mots je raccrocha. Je posa ma main sur mon visage que je pencha un peu pour que mes cheveux le masque à la vue de Sora. Par dignitée, même si il m'avait déjà vu pleurer... J'avais les dents serrer par la colère, je pleurais lentement, essayant de retenir ses larmes. Mon propre père était encore du côté de mon frère... Le salaud qui m'avait tout pris, Kuzuaki et maintenant, même mort, il arrivais à corrompre mon père. Je me repris rapidement, séchant mes larmes avec le revers de ma chemise et releva la tête, mon regard scrutant le plafond de l'appartement de Sora. Quand je sentis mon téléphone vibrer à nouveau, je le serra d'une certaine force, avant de le lancer se fracasser contre un mur... Je bouillais de colère, de tristesse et d'incompréhension... Mon père tenait plus à Iruhi... Mon frère... Qui m'avait tout pris et lui avait fait tant de peine... Je me suis réfugiée dans la musique, dans l'alcool et la cigarette à cause de mon propre frère ! Je me calma, reprenant une pause droite... Mon père avait du voir mon exes de colère de toute manière. Je croisa mes bras, sentant Sora dérrière moi... J'avais... Honte. Il avait put tout entendre, mon père avait hurlé de colère sans ses propos parfaitement audible... J'avais même du éloigner le téléphone de mon oreille pour ne pas me faire fusiller les tympans. Honte d'avoir un père comme lui, et c'était bien la première fois. Un frisson me parcourut, c'était comme sa quand j'étais plus très bien, j'avais subitement froid. Froid et honte du comportement de mon père.

-Désolée. Je... Je devrais surement pas rester.

J'osais plus vraiment croiser le regard de Sora, même quand j'entendis sa respiration régulière dérrière moi. Je releva juste mes mains le long de mes bras. J'avais froid. Extrémement froid. Mon regard émeraude était encore gorgé de larme et de tristesse... Ainsi qu'une pointe de colère. Avec l'intercade avec mon père... Je n'avais qu'une envie : le faire enrager. J'avais bien mon idée comment. Mais utiliser les gens pour assouvir mes vengeances n'est pas dans mes habitudes et je ne l'ai jamais fait. Pour être franche, et enlevant mes idée de vengeance, j'avais pas vraiment envie de rentrer chez moi et ce n'était pas non plus l'envie qui me manquait de reprendre ou on en était avec Sora... D'un mouvement de tête, je regarda les restes de mon téléphone... Je soupira, me grattant l'arrière de mon crâne, bha aprés ma montre, mon téléphone.

Je regarda Sora faire, en silence... Le regard perdu dans mon esprit. Je fis quelques pas en arrière, sentant enfin le mur dans mon dos, je me laissa glisser jusqu'au sol... Ma tête droite, mes bras croiser avec mes main serrant mes bras fortement... J'entendis les paroles de Sora, je pouvais donc rester et cela n'était pas de refus. Si mon père était asser... Fou ? Emmerdant ? Envahissant ? Envahissant dans la vie de sa fille de 25 ans pour l'espionner, qu'est-ce qu'il me ferait une fois dehors ? Regretter mes paroles ? Regretter mes actes ? J'avais peur, je nourrissais une nouvelle peur. Jamais je n'ai eu peur de mon père, il a toujours été mon protecteur, mon gardien, et maintenant... Il se retournait contre moi, comme un coup de vent. Je posa mon front contre mes genous. Laissant Sora passer à proximité de moi pour aller dans sa chambre... J'avais une question au fond... Qu'est-ce que sa lui faisait que je l'avais embrassé ? Rien ? Surement. Dans un soupire, je revis cette scène, ou un frisson de peur pour mon père avait parcouru l'échine de mon dos... J'avais eu peur qu'il meurt ? Il me lance clairement à la gueule que mon frère a toujours été sa fierter et moi non... Qu'il a passé l'éponge si facilement sur ce qu'il m'avait pris et que c'était de ma faute sa mort... Oui, juste, ma faute. J'eu un rictus de plaisir à me rendre compte de cela. Ma faute... Juste... Ma faute.

Dans un soupire, je me releva, me tournant dans l'encadrement de la porte de la chambre de Sora... Regardant sa forme se dessina... Ses cheveux blancs, je soupira, avant de me remettre dans la position ou j'étais. Glissant le long d'un mur et allongeant mes jambes, laissant mes bras rencontrer le sol. Mon regard perdu, scrutant le plafond. Aprés ce que je venais d'avoir au téléphone... J'étais dégoutée... De mon père, du seul que je pensais à peu prés dans mon camp... Je venais de perdre un membre de ma famille... Et c'était surement le dernier, vu que le reste n'avais pas daigné poser les yeux sur moi depuis la mort de ma mère et ma naissance... Donc... Jamais. J'eu un petit rire. Moqueur, ironnique, désespérée.

-Ma vie ne représente absolument plus rien. Je regrette d'avoir persister à vivre aprés la mort de Kuzuaki. Pourquoi j'ai été aussi... Stupide ?! De croire que la vie continuais. La mienne est finit, depuis ma naissance.

Ces paroles étaient sur un ton spécial... Un mélange entre la colère, la folie et la tristesse ainsi que le remord... Je regrettais ma naissance, j'étais en colère contre mon père et mon frère, j'étais folle de tristesse en ce moment et une sorte de déchirure se mit a me faire mal au niveau de mon coeur.... Pas mon coeur physique, plus mon mental. Quelques choses se brisa rapidement... Et de manière sec, disparaissant une horrible douleur dans tout mon esprit et mon corps... Je la ressentais. J'étais, maintenant, vraiment seule avec quelques amis, ma guitare et ma musique. Au fond c'était pas si mal... J'avais un sourire au coin, un sourire non-voulu. Pas que j'étais heureuse mais juste... J'ironnisais tellement la situation. Je remarqua rapidement que je semblais l'avoir prévue, comme sentis. Une main se posa sur mon visage... A ce moment, utiliser mon oeil me tenta... Regarder dans un miroir, lancer sur moi-même l'effet de mon oeil et me plonger dans un rêve éternel. Ne plus exister, mourir aprés quelques mois de coma... Quelques mois ou j'allais être dans un rêve. Un pur rêve...

Je connais pas mal de girouette... Parmis le top 10 sont Kuzuaki, le frère de celui-ci qui est marié et qui m'a encore envoyé une lettre de Suna tiens. Faudra que je pense à lui répondre. Puis, viens mon frère, Iruhi, lunatique à souhait, comme certaines personnes de ma famille maternel qui m'avait jamais bien vu. Il y avait des connaissances à moi auquel j'avais rapidement mit un fossée, les personnes girouette me font rapidement perdre pied dans mes pensées et je n'aime pas. Être tout le temps bousculer, secouer et devoir de nouveau faire un plan de la situation et refaire une analyse du caractère de la même personne déjà fait il y a 10 minutes n'était pas une chose que j'appréciait. Bref, je poussa un bref soupire avant de me rendre compte que je n'avais pas qu'une personne a rajouter sur ma liste des girouettes, mais bien deux. Je sortis de ma léthargie et de mes pensées quand j'entendis la voie de Sora, il se tourna sur le dos avant de sortir de son lit dans un bond et de se planter devant moi, s'acroupissant et me regardant, il avait une main posé sur le mur prés de ma tête. Je sentis deux de ses doights me remonter le menton vers lui, et il m'embrassa, je rencontrais de nouveau la saveur des lèvres de mon collègue aux cheveux blanc. Mon bras se leva, ma main aggripant le bras que Sora avait tendu pour mettre une main prés de ma tête. Il rompit le baiser, me regardant d'une étrange manière, me laissant moi et mes esprits enfumées par ce retour de situation asser... Hum... Incompréhensible pour mon cerveau qui ramait pour ce soir. Sur ces paroles, je me rendis compte qu'on était deux. Deux inconnus qui n'arrivait pas à percer à jour l'autre, on ne cernait pas l'autre et cela nous mettait en tête une certaine "curiosité" pour l'autre... On voulait être le premier à percer l'autre à jour. Mais on y arrivait vraiment pas. Il m'arracha un sourire sincère, malgrés que j'avais pas énormément le coeur à sourire. Oui j'étais en vie, je ne savais pas par quelle miracle la vie voulait pas me donner à sa copine la mort, mais j'étais en vie. Tout comme Sora, bien que l'on veuille et qu'on aille toute les raisons inimaginable pour vouloir réclamer la mort. Héhé... On a pas l'air con tiens. On réclâme ce que les autres tentent de fuir...

Un rictus d'ironnie s'imisa sur un coin de mes lèvres, alors que les autres paroles de Sora me firent ouvrirent les yeux très... Très... Grand. Etonné, interpelé par ses paroles, il voulait quoi ? Que je partage mon désespoir ? Et comment ? Il avouait qu'il ne me comprenait et pas et... Il me demande de partager mon désespoir ? Stop, y a un truc qui cloche. Je comprends pas, je comprends rien à l'attitude de mon collègue, bon je dois avouer que son baiser - Ok, ses baisers - n'étaient pas de refus et je lui rendais mais... Pourquoi il faisait sa ? Je ne comprenais pas, pourquoi il faisait sa ? Il n'avait pas réagis, enfin si mais comme quelqu'un qu'on forçait et qui ne faisait que rendre ce qu'on lui donnait quand je l'avais embrassé... Alors pourquoi il agissait ainsi ?

Bref, je laissais passer mes idées tordus et mes reflexions qui avait prix que quelques secondes aprés que j'eus constater avec un certain étonnement que Sora avait posé sa main qui soutenait mon menton sur mon épaule, glisser sa langue entre nos lèvres et m'offrait un French kiss très bien réussi. Même si j'étais perdu et bien paumée dans mes pensées, me demandant sans cesse pourquoi Sora agissait comme sa. Je me rendais complétement malade à vouloir le comprendre, le cerner, le connaître par coeur, avoir un coup d'avance par rapport à lui. Pourquoi je voulais faire sa d'abord ? Jamais je n'avais poussé mes "schéma" des personnes que je rencontrais au-delà du "classage" dans des boîtes avec une étiquette sur lequel il y a marqué "lunatique" ou autre... Ces boîtes était imaginaire bien entendue. Vous allez pas croire que j'ai une salle ou il y a des milliers de boîtes avec le nom et prénom de personne dedans ? Si ? Mon dieu.

Je rompis le baiser... Regardant Sora... Non cela ne m'avait pas déplue et je lui avait fait très bien comprendre. J'essayais seulement de savoir, de comprendre son comportement... Je voulais savoir si il se forçait, si il faisait sa comme par pitié... Je voulais comprendre pourquoi il agissait ainsi. Il était une girouette, et moi les girouettes je m'osbtine toujours à les comprendres même si sa signifie ramer pendant des années voir devoir abandonner à un momment. Mais les personnes qui ont été les plus proches de moi étaient presques toute des girouettes. Je m'étais entêter à les comprendres pour toutes. Alors pourquoi ne pas le faire pour une personne de plus. Je baissa instinticvement la tête...

-Pourquoi tu fais sa ?

Pour vous dire, je ne voulais pas le repousser, et j'en avais vraiment pas l'intention. Je voulais juste essayer de comprendre pourquoi il faisait sa... Savoir, comprendre et apprendre. Voici les trois principes qui régide la vie d'un humain. Tout humain. Et moi je n'échappais pas à la règle apparament... Je ne releva pas la tête, attendant juste une réponse, me mordillant la lèvre inférieur.

Sur le moment, je m'en foutais de mon père, je me foutais de ce qu'il m'avait dit. Je voulais mettre sa de côté un temps, et y revenir à un autre moment... Ignorer mes problèmes un certains soir avant de me cogner dedans et de me péter le nez - et a mon avis pas que le nez - a essayé de les résoudres...

Et on était là, lui accroupit devant moi entrain de chercher une raison pour laquelle il venait de m'embrasser à plusieurs reprises durant la soirée. Moi j'étais en face de lui, adosser contre le mur, assis au pied de celui-ci, les jambes allonger. Mon regard émeraude dans le sien, j'étais amusée, j'avais un sourire que je n'arrivais pas à m'enlever. Un sourire amusé du comportement de Sora. Il ne savait pas pourquoi il agissait mais il agissait et il mettait un point d'honneur à cela. Cela me plaisait. Quelqu'un qui agit réfléchis avant et aprés mais pas pendant. Sur ces pensées, je me demadais comment on pouvait réfléchir pendant qu'on agissait... Etait-ce seulement possible ? Quand je me rendis compte que j'avais posé une colle à mon collègue, je ricana doucement, un sourire de vainqueur sur les lèvres. Allait pas chercher pourquoi j'avais sa... Mais cela me plaisait, j'avais réussis à poser une colle à quelqu'un qui avait répondu à mes questions même celle que auquel je pensais. Il avait simplement agit. Obeis à son corps. Pas étonnant que ces pulsions peuvent devenir incontrôlable, cela me semblait si... Lucide et clair sur le moment. Comment quelqu'un qui obeis à son corps pouvait retenir des pulsions meutrières ? J'arca un sourcil sur ces pensées. Etait-ce seulement possible ? Je poussa un petit soupire et regarda autre part... Avant de sentir un frisson me parcourir toute la colonne vertébral, je me tourna de nouveau vers Sora, regardant et passant une main sur son col, l'attrapant rapidement et l'approchant rapidement de moi. Un sourire aux lèvres.

-Hé bien... Agit.

Faut pas chercher, faut pas chercher... Mazette je suis forte ! Je me comprends même plus moi-même ! Je venais de demander à mon collègue de continuer ce pourquoi il ne savait pas pourquoi il le faisait. Je vous l'avoue, dis comme sa, sa ressemble à rien. Mais je préférais me le dire ainsi, c'était compliqué à comrpendre et au moins, pas asser lucide pour que dans trois jours je repense encore à ma logique qui dérivais lentement ce soir. Pas que ce soir d'ailleurs, depuis que j'ai posé mon regard sur la tombe de mon frère plutôt. J'avais fait la connaissance du professeur de Genjutsu, je l'avais attaqué avant de reprendre contrôle sur moi, il avait plus, et j'avais rencontré une boule de poil appartenant à Sora qui me réclamait des câlins dés qu'il en voulait, puis j'étais repartis, j'avais fait l'amical connaissance d'un groupe d'étudiant qui m'avait encore chercher des noises et avait pris un bon bain froid grace à mon sauveur de la soirée... Je me retrouve rapidement dans la grande roue avec Sora qui pète un cable, bloquer dans une nacelle, j'utilise un oeil et tombe dans les pommes juste aprés qu'on ai descendu de notre "prison" temporaire... Je me réveille emmitouflé dans les couette du lit de Sora, retrouve le chat et mange comme une princesse ensuite j'embrasse Sora et il me rend le baiser avant que je recoive un coup de téléphone de mon père qui m'espionne... Enfin, Sora et moi on se retrouve dans sa chambre, lui devant moi accroupit, il vient de m'embrasser et moi je fais de la philosophie humaine et de la psychologie... Sérieusement, ma vie commence à prendre une drôle de tournure. Et là, j'ai le visage du professeur de Genjutsu, mon collègue en l'occurence, à deux millimètres du mien, j'ai le col dans une main et l'autre sur le sol me soutenant, je viens de lui demander de continuer d'agir... Non, non, je ne deviens pas folle. Je reprends juste une vie que j'avais... Avant. Pas morne du tout avec quelques problèmes que je dois m'efforcer de régler, une santée mental qui plonge lentement dans les ténèbres. Je soupire doucement amusée, avant de regarder Sora dans les yeux, soutenant son regard et voulant voir sa réaction... Foutue curiositée.

Je me rends compte, que maintenant et oui je suis longue à la détente, que ma vie a été un fiasco appart quelques chapitres qui n'ont été que de courte durée. Iruhi... Iruhi... Le nom de mon frère sonne étrangement faux quand j'essaye de l'imaginer au petit soin avec moi. C'était mon grand-frère, et pourtant, celui qui m'a fait plongée dans la cigarette et dans ma pire des prisons qui s'est refermé de manière définitive : La musique. Mon père est donc de son côté ? Hé bien miss KoshoÏ n'a plus besoin de son pôpa depuis plus de 7 ans maintenant et je ne vais pas commencer à aller chercher de l'aide auprés de celui qui m'a espionné et m'a très clairement dit que j'étais qu'une... Qu'une... Qu'une tache. Une horrible tache dans sa vie. Ho oui, une horrible tache avec un oeil atteins d'une déformation qui m'offre le "pouvoir" d'utiliser une arcane du Genjutsu totalement inconnu. Oui je suis une tache, et je suis pas la seule. Et j'en suis fière tiens. Une tache, sans tache ce monde serait comment dire... Trop morne. Et mon pôpa chéri va voir comme sa tache de fille peut devenir un véritable parasyte. On insulte pas miss Zest sans en subire quelques conséquences très difficile à avaler. Je n'aime pas la force, non, je pratique les mots. Et cela fait bien plus mal quand y sont bien choisis. J'en ai déjà fait la douloureuse expérience...

Ce soir, j'avais envie de me lâché, de mettre de côté mes problèmes... Et c'est bien ce que je compte faire.

Je lui avais demandé d'agir, j'eus droit à un de ces sourires qui veulent tout dire... Pleins d'arrière pensée sans vraiment en avoir. Enfin là, j'en était sur qu'il y en avait. Je laissa Sora balader ses mains, il agissait, et il occupait ma langue a jouer avec la sienne. J'appréciait, il était lent, calme, doux et prenait son temps. Il me prit dans ses bras, je mis juste mes bras autour de son cou, avant de sentir le lit dans mon dos, il se positionna au-dessus de moi, passant une main sur mes formes, recommençant son baiser qui ne me déplaisait pas comme les autres. Ses caresses étaient légères, sur de lui. J'avais ma confirmation, Sora n'étais pas un novice dans l'art du sport de chambre. Un mystère enfin résolue ! Si on peut dire sa comme sa... Je rompis rapidement le baiser avant d'avoir une idée dérrière la tête. Je laissa la main de Sora rencontrer mes seins avant de le faire basculer, me retrouvant sur lui, je bloqua son bassin avec mes jambes et me mit à califourchon. Le regardant avec un petit sourire. J'opposais un peu de résistance, je me laissais rarement faire et je voulais aussi jouer, faire languir Sora et pour sa... Je peut dire que j'ai de l'expérience. Rapidement je défis sa chemise pour découvrir, de nouveau vu qu'il s'est déjà déshabillé jusqu'au Boxer, ce torse de ninja et de machine à tuer... De "monstre" comme il se disait. Je souris intérieurement, si tout les monstres était bati comme Sora, il en faudrait plus dans ce monde. Je passa une main rapide sur la peau de mon collègue, sensuel, j'étais à moitier assise sur son sexe déjà gonfler et reveiller et j'en rajoutait une couche. Rapidement, j'engouffra ma tête dans le cou de Sora, me frottant légèrement contre lui au passage. Je mordilla doucement sa peau tiède avant de passer un coup de langue sensuel, remontant jusqu'a son lobe... Mes mains caressait sa peau avant de monter lentement le long de son torse. Moi ? Je m'amusais littéralement, mordillant le lobe de son oreille avant de redescendre le long de son cou. Je descendis lentement avant de me redresser, je mit mon visage en face du sien. Je l'embrassa entrouvrit ses lèvres et laissa ma langue rencontrer celle de Sora, les French Kiss je savais faire ! J'avais ma poitrine contre le torse à nu de Sora, sa chemise ouverte et je trépignais d'impatience de voir sa réaction. Prendre le dessus est l'un de mes jeux préférés, pour m'avoir, faut me soumettre. Avoir une certaine domination.

Je rompis mon baiser aprés un moment à l'avoir embrasser avec une certaine fougue, je le regarda dans les yeux, prenant une de ses mains pour aller la bloquer au-dessus de lui. Je savais que la force physique de Sora était supérieur à la mienne. Mais allons bon, un peu de jeu non ? C'est toujours mieux quand on joue. J'avais une lueur de défis dans les yeux, bravant le regard de Sora avec un petit sourire plein d'arrière pensé et surtout apellant au défis. De mon autre main je glissa une main dans le pantalon de Sora, rapidement je passa quelques doights léger sur la "bosse" de son caleçon... Souriant de plus belle et attendant avec une certaine curiositée la réaction de Sora. J'avais toujours ce petit sourire, ce regard provocateur et apellant juste Sora à essayer de reprendre le dessus. Je sentais une chaleur me prendre rapidement, j'avais envie de mon collègue sur lequel j'étais. Je caressa d'une main légère, effleurant à peine le tissu qui recouvrait la verge du professeur de Genjutsu. J'avais mon regard plongée dans le sien, ramenant ma main perdu dans le sud pour caresser de nouveau la peau douce du torse de Sora, l'embrassant de nouveau, jouant et caressant sa langue tout en frottant mon bassin de façon légère contre celui de Sora, celui que je bloquais avec mes jambes et sur lequel j'étais à califourchon. J'étais curieuse de la réaction de Sora, et curieuse de découvrir son corps à nue. Une idée de me rinçer l'oeil me parvins rapidement... Bien que mon collègue allait en profiter aussi.

Je souriais, toujours avec cet appel au défis, quand Sora fit sa manipulation que je voyais absolument pas venir, j'écarquilla les yeux avant de reprendre mon expression, oui, j'avoue qu'il est doué. Je sentis son doights entre mes seins et je frisonna avant de refermer ma main sur le poignet que je bloquais de Sora au-dessus de sa tête. Je me demandais vraiment ce qu'il pourrait faire avec ses deux mains opérationnel... Je roulais des yeux avec un petit sourire, comme si il n'avait pas la force de dégager sa main. Je frisonna de nouveau, un frisson électrique qui me parcourut toute l'échine quand mon collègue me mordilla mes tétons, je ferma un de mes yeux, je me promis de me venger, et pas plus tard que maintenant. Tiens mais avec quelle main il m'avait attrapé la nuque... Je remonta mon regard pour voir que ma main se referma sur un bout d'oreille et non sur le poignet du professeur aux cheveux blancs. Je souris, amusée de ma naïvetée enfantine et gamine... J'ouvrit de nouveau mon oeil que j'avais fermé sous les frisonnements pas si désagréable, je regarda Sora, son regard en disait long tiens. Sa allait être une longue nuit et vu ce que j'avais en tête, je devrais jouer en finesse pour ne pas prise dans mon propre piège. Je sentis la main de libre de Sora, celle qui ne tenait pas ma nuque, descendre le long de mon ventre, son index effleurant ma peau de manière insupportable mais, contrairement aux apparences que je pouvais donner, je supportais avec un petit sourire ironnique. Sentais son doight tourner autour de mon nombril, jouer doucement avant de descendre et de s'arrêter au-dessus de ma jupe, il recommença son petit jeu avant de remonter. Un nouveau frisson me parcourue en sentant de nouveau les dents de Sora mordiller de manière plus fortement l'un de mes tétons. J'allais me venger... Oh oui.

D'un mouvement de nuque, je me défis de la main de Sora rapidement et efficacement, enlevant ce qui me gênait, c'est à dire mon haut relever au-dessus de ma poitrine et mon soutien gorge que j'envoyais hors du lit avant de regarder Sora... J'arca un sourcil avant de me relever lentement, passant une main entre le pantalon de Sora et son caleçon, sentant que c'était déjà bien réveiller mais pas asser... Je passa quelques doights, effleurant avec une lenteur insupportable. Je me retira aprés avoir fait durer ce petit moment et de me pencher sur le corps de sora toujours à ma merci et il fallait que cela dure encore... Je voulais me venger et j'avais bien une idée pour cela. J'effleura la peau de Sora, découvrant un tatouage tribal au niveau de son biceps, je passa quelques doights dessus, comme pris d'un souvenir... Un tribal...

Inconsciemment, je passa une main dans mon cou, effleurant mon symbol. J'ouvrit des yeux énormes avant de les fermer lentement... Je poussa un petit soupire... Non, cette promesse datait trop pour être encore tenu... Cette promesse... Je sentis mon sourire pervers me quitter rapidement avant de glisser ma main dérrière mon épaule, caressant mon deuxièmes tatouage, je ne le voyais pas et sentait juste ma peau douce sous mes doights, mais je savais ou il était et laissait mes doights se reposer sur l'espère d'oeuf au reflet vert émeraude pas bien gros, voir petit qu'on m'avait tatoué. Mauvais souvenir d'ailleurs. Un temps entre ma rencontre avec Kuzuaki et le départ de mon frère, plongée dans la drogue j'avais dérapé complétement et ce n'était pas mon ancien amant qui m'avait dévergondé... Si j'avais appris tant de technique de combat, si j'étais si impartial avec les machos, si je me laissais approché que par ceux que je voulais et non par les autres, si je m'étais infligé tant d'entrainement pour savoir me défendre... C'est parce que j'étais tombé dans un cercle vicieux, entrant dans un gang de Kiri. Leurs symbole était cette oeuf vert émeraude... A l'époque je savais pas tellement les conséquences de mon oeil sur mon corps et j'avais perdu plusieurs fois connaissance et m'étais retrouvé à l'hôpital un bon nombre de fois a cause de celui-ci. Quand j'ai rencontré Kuzuaki, en temps qu'ami il a essayé de me faire sortir de ce domaine... Et malheureusement pour moi, j'aurais du déserter et ne pas annoncer au gang entier composer spécialement de plus de 95% d'homme que je quittais le gang pour vivre une vie à peu prés normal... C'est là que...

En déhors de ces mauvais souvenirs que je ressasais avec un certains dégoût et une certaine haine envers les personnes qui m'avait fait ce pourquoi j'étais devenus ainsi... Je me massais juste l'arrière de la nuque et avais mon autre main posé à l'arrière de mon épaule, mes doights se crispèrent sur le tatouage... Ce symbole. Je soupira avant de sortir de mes pensées et de voir Sora qui comprenait un peu rien à ce qui me prenait... Je n'avais pas envie de lui expliquer. Enfin, quand mon collègue se redressa - Bha oui il pouvait se redresser il m'avait juste sur son bassin -, je le regarda avant de sourire. Je posa une main sur son torse et le renvoya contre le matelas. Un demi-sourire sur les lèvres. Je posa mes mains sur son torse et effleura une dernière fois ce tribal avec comme pensée la promesse que j'avais faîtes. Je soupira rapidement avant de reprendre mon expression de tout à l'heure, apellant Sora au défis. Je continua d'effleurer sa peau avant de déposer quelques léger baiser du bout des lèvres, sortant ma langue pour lécher du bout de ma langue la peau de mon collègue, je m'attarda sur son ventre et remonta lentement, prenant mon temps, laissant juste ma langue effleurer la peau de Sora... Repoussant mes idées et mes mauvais souvenirs dans un coin de mon esprit.

Je regarda son sourire pervers, avant de me sentir retourner, une fois sur le dos, je sentis les mains de mon collègues passer sur mes seins, puis caresser mes formes avant de descendre le long de mon corps en me faisant plusieurs suçons, je me mordit le coin de ma lèvre inférieur, ne doutant pas des marques que j'allais avoir le lendemain. Sur ces pensées je soupira, et je n'eus pas le temps de réfléchir, que ma tête partit en arrière, je me mordit la lèvre inférieur jusqu'au sang. Le changement de rythme était flagrant et c'était une des raisons pour laquelle j'avais un goût métallique dans la bouche, quelques gouttes de sang s'empressèrent de rouler le long de mes lèvres, témoignant de ma volonté à ne pas laisser mon sentiment de suprise et de plaisir passer outre mes lèvres. Bref, je passa une langue rapide sur ma petite plaie avant de regarder Sora faire. Ses yeux avaient changé de couleur, je ne m'y inquiéta pas plus que sa... Frisonnant tout en me mordant, ignorant la douleur de ma petite plaie, la lèvre inférieur et avec une main refermer sur draps... Je me demandais ce que sa allait être sans nos sous-vêtements tiens... Je reposa la tête sur le lit asser lourdement, la lâchant plus que la reposant. Le gout de mon sang revenait sans cesse en bouche, par goutellette, ce n'était pas désagréable et au moins je savais qu'elle goût il avait. Ce qui n'était pas bien nécessaire. Je referma ma main par moment, me modant plus fortement la lèvre inférieur et ouvrant ma petite plaie qui ne me faisait pas souffrir un grand martyre, juste une petite douleur qui passait presque inaperçus, j'avais juste quelques gouttes de sang dans la bouche pour me rapeller son existence.

Ma main se referma brutalement sur les draps, ma bouche s'ouvrit contre mon grés pour prendre une inspiration avant de se refermer brutalement pour ne pas laisser la moindre trace d'un gémissement. Je me mordit de plus belle la lèvre inférieur, je sentis un frisson me parcourir le corps, faisant réagir la plus infime parcelle de peau que je possédais. Je referma ma deuxième main sur les draps, m'éfforçant de ne rien dire. Laissant mon corps frissonner et réagir. Je commençais à mouiller, je commençais à sentir cette chaleur naître en moi et ce désir de sentir Sora en moi... Je rejeta une nouvelle fois la tête en arrière, laissant un semblant de gémissement se faire entendre, avant de serrer les dents de nouveau et de relever la tête pour regarder Sora. J'aurais bien voulu pouvoir retourner la situation, chose compliquer dans ma position. Je laissa mes main sur les draps, sentant le plaisir et le désir monter lentement... J'avais envie d'aller plus loin. Une envie qui commençait à ce faire de plus en plus forte de continuer, d'aller jusqu'au bout de ce qu'on nous avons commencé.

Je me mordais toujours la lèvres inférieur, sentant toujours le goût de mon sang dans ma bouche et cherchant une solution pour retourner la situation en ma faveur. Bref, je voulais ne plus subir les actions de Sora, bien qu'elle ne me déplaisait pas, loin de là, mais je voulais lui en faire subir. Dans une nouvelle montée de plaisir, je rejeta ma tête en arrière légèrement, me mordant la lèvre inférieur plus fortement. M'empêchant de penser correctement... En tout cas, je peut vous l'assurer, Sora est très doué avec sa langue. Et j'imaginais asser bien que je n'avais pas encore tout vu et que cela n'était qu'un début. Enfaite, non, je ne m'imaginais pas la suite. Je jeta un regard sur les bleux sur mon corps, avant de serrer de nouveau les dents, laissant un peu de repos à ma lèvre inférieur que je martirisais tant.